Rappelle-toi…

Rappelle toi … La vie était agréable même si tu ne le savais pas. Tes enfants étaient contents d’aller à l’école car ils allaient y retrouver leurs copains. Tes vacances étaient insouciantes.

Les filles étaient belles lorsqu’elles souriaient. Les fêtes de familles rassemblaient toutes les générations et mamie câlinait ses petits enfants.

Si tu mettais un bébé au monde, tu espérais pour lui une vie emplie d’amour et de promesses de bonheur et de réussite.

Si tu n’avais pas de problème de santé particulier, tu savais te maintenir en forme.

Malade, tu faisais confiance à ton médecin pour te donner les médicaments qui t’aidaient à guérie. Tu te moquais pas mal des virus, des rhumes. Tu n’y pensais même pas sauf quand une grippe venait te rappeler que c’est parfois pénible et fatigant mais tu savais que ça faisait partie des risques de la vie au même titre qu’une gastro ou une bronchite.

Tu étais libre d’aller où tu voulais et tu n’imaginais même pas qu’il soit possible un jour de t’interdire certains lieux.

Rappelle toi ce que t’évoquaient les images d’Asie montrant des personnes avec un masque dans la rue à cause de la pollution.

Souviens-toi de ce que tu pensais des femmes couvrant leur visage été comme hiver à cause de leur religion.

Et lorsque tu as amené ton enfant aux urgences après une chute, il y a plusieurs années , malgré ton inquiétude, tu savais qu’il serait bien soigné.

C’était le monde d’avant . Si proche et pour beaucoup presque oublié.

Ferme les yeux et revois les images :

Souviens-toi de tes relations affectives et amicales, de ce qu’étaient alors tes liens familiaux. Comment étaient tes études, tes loisirs, tes projets ? Comment voyais-tu la vie , l’avenir, celui de tes proches ? Que pensait-tu du monde dans lequel tu vivais, de notre société, des gens qui nous gouvernent ?

Si tu retrouves ces images garde-les comme repères. Ne les oublie jamais. ! Ce sont tes fondations. Même si des choses ont changé, elles retracent ta vie avec ses joies et ses épreuves, tes voyages, tes combats, tes échecs et tes réussites, tes attentes et surtout les liens avec les personnes qui te sont chères. Ce que tu as construit en toi ne peut-être détruit par la volonté de quelqu’un d’autre..

Ouvre les yeux ! Ce monde là a disparu parce qu’une poignée de gens en ont décidé ainsi.

Les masques qui te faisaient si peur parce qu’ils cachaient les visages, on te les as imposés. Partout, au travail dans les transports. Tu les a mis à tes enfants parce que l’école t’y contraignait.

Tu te soumets à une torture nasale même si tu n’es pas malade et dans ce cas on te dit asymptomatique c’est à dire en bonne santé mais tu es obligé de t’isoler comme si tu étais pestiféré.

Après avoir été confiné pendant des mois respecté des couvre-feux, après avoir dû renoncer au loisirs et au sports on t’a imposé de vivre dans la peur dans un monde sans chaleur ni affection obligeant les gens à respecter des distances barrière.

Le seul espoir de retrouver ta liberté était de te faire injecter un produit génétique en phase d’essai jamais teste chez l’homme auparavant. Tout était censé redevenir normal après …

Or, ce produit qu’ils osent appeler vaccin ne protège pas du Covid n’empêche pas d’être contagieux et il faut sans arrêt refaire de nouvelles doses si tu veux garder ton semblant de liberté.

Dans leur monde, les enfants sont perçus comme un danger et doivent se faire injecter un poison pour protéger leurs grands-parents pourtant pfizerisés , boostérisés, tridosés voire quadridosés

N’importe qui a le droit de connaître ton « statut vaccinal », Ton QR code est ton laisser passer. Si tu ne l’as pas, tu es exclu des soins hospitaliers et de toute vie sociale. Tu deviens un paria.

Aujourd’hui des gens peuvent se retrouver suspendus de leur emploi, sans salaire, sans droit au chômage ni RSA pour le simple fait d’avoir refusé d’être les cobayes en se faisant injecter un produit qui tue chaque jours plus de gens.

Désormais, il est normal que les médecins ne soignent pas le Covid et ceux qui prescrivent les bon traitements sont considérés comme des déviants convoqués par l’Ordre des médecins.

Les urgences de la plupart des hôpitaux sont fermées la nuit et de plus en plus de gens meurent chez eux faute d’avoir été pris en charge.

Il devient dangereux de prendre l’avion non pas à cause du Covid mais parce que des pilotes soumis à l’injection obligatoire font des malaises cardiaques en plein vol.

Les femmes enceintes sont encouragées à se faire vacciner et tant pis si elles font des fausses couches ou que le bébé naît sans anticorps

Dans ce monde qu’ils t’imposent , des études démontrent des âneries que tu es censé considérer comme sacrées parce que ce sont les scientifiques qui les énoncent.

Au nom de la science :

Ils te disent qu’on peut mourir de crise cardiaque à 20 ans, voire moins et qu’il est possible de s’endormir et ne jamais se réveiller parce qu’on a trop lacé ses chaussures, secoué sa couette , trop jardiné . Ça peut arriver rien qu’en se levant de sa chaise.

Ils t’expliquent comment reconnaître les symptômes d’un AVC chez un enfant comme si c’était tout à fait normal de faire un AVC à 5 ans.

Ils prétendent qu’il n’est pas exceptionnel d’avoir la ménopause à 23 ans.

Ils racontent qu’un surfeur Covid+ peut contaminer la mer.

Ils font des schémas pour prouver un coureur du Tour France peut souffler ses virus sur celui qui est derrière lui.

Ils font croire que la vitamine D, le curcuma et l’huile essentielle de lavande sont dangereux.

Ils t’incitent à courir un marathon avec un masque.

Bientôt, on te dira que de prendre une douche, c’est mauvais pour la santé.

Si ça devait servir leurs intérêts, des études scientifiques parviendraient à prouver que la terre est plate.

Te souvenir de ta vie d’avant ne fera pas revenir ce monde où tout avait encore un sens mais te permettra de voir à quel point celui qui nous est imposé par le Nouvel Ordre Mondial est fou. Il repose sur la soumission et l’abêtissement des masses. Lui opposer une pensée claire te permettra de gagner la bataille de l’intelligence qui est le ciment de la résistance.